(Lord Ahmed)Que se passe-t-il chez les britanniques pour qu’ils anoblissent leurs musulmans ?
On a eu LORD AHMED, un pakistanais musulman qui s’est avéré être une crapule et un meurtrier.
En tweetant en voiture, il a renversé un cycliste et l’a tué net. Cela n’a manifestement eu aucun effet sur sa condition de lord. Il faut croire qu’ils vont les chercher dans le caniveau leur nouvelle aristocrates les brittons.
Du reste, c’est en formant un duo avec Lord Ahmed que la baronne Sayeeda Warsi, une pakistanaise aussi d’origine, s’est fait un peu connaître. Elle partit (en tout bien tout honneur) avec Ahmed afin de plaider en faveur d’un enseignant britannique emprisonné au Soudan pour avoir appeler un ourson « Mahomet ». On en a tué pour moins que ça dans le royaume islamiste d’Omar El Bechir.
Le duo musulman Ahmed-Warsi s’est attribué à tort la libération de l’enseignant britannique mais…vous connaissez les parvenus…toujours en quête de gloriole !
Il faut sans doute lui attribuer l’essor de la finance islamique en Grande-Bretagne à la baronne Warsi intégrée dans le gouvernement Cameron au Foreign office (affaires étrangères). Son bébé quoi !
Vous pensez si la City voulait mettre la main sur le magot des banques prétendument islamiques !
Du coup, des tas de golden boys ont du se fader des pages indigestes de la sunna pour comprendre les mécanismes et entrer dans la Mecque du pognon musulman.
Notez, en France, on a désormais des cursus universitaires pour faire comme les british et intéresser les musulmans devenus étrangement dévots. Notez que ces puristes ont toute latitude grâce au Coran pour extorquer l’infidèle ! Ce qui relative vachement la notion de pureté islamique tout de même.
La baronne musulmane est la cible des intégristes comme Anjem Choudary qui a lancé des fatwas pour la dégommer.
Pourtant, lady Warsi comme on dit, nous fait le coup de l’islamisation soft. Doucement mais sûrement.
Son implication dans le grand projet des finances islamiques et sa récente démission du cabinet Cameron prouvent qu’elle a de l’ambition pour elle-même d’abord et pour l’islam en Grande-Bretagne surtout.
Démissionner pour prouver qu’elle est contre son gouvernement qui ne s'oppose pas à la riposte israélienne sur Gaza est une façon de s’assurer les bonnes grâces d’un futur électorat. Elle n’a jamais été élue.
Gaza est fédérateur en Angleterre. Entre une population de plus en plus musulmane et des bobos comme chez nous en France qui gueulent avec les loups, vous pensez si l’occasion était belle pour la Warsi de se casser avec fracas !
Son islamisation douce s’en ressent jusqu’à sa prise de position au sujet du port de la burqa. Elle estime que cela ne devrait pas poser de problème aux femmes qui la portent et spécialement si elles envisagent accoutrées ainsi, une carrière professionnelle. Idem pour le voile intégral islamique. « Les femmes peuvent porter des mini-jupes et pas de voiles ? ». Shocking ! Ben voyons…
Si de gauche à droite de l’échiquier politique britannique on se félicite de la démission de la baronne Warsi au sujet de Gaza, il faut tout de même noter que les déçus de droite sont en fait des ex-Ministres qui se sont fait lourder lors du dernier remaniement par Cameron. Ils voient le moyen de mettre en rogne le 1er Ministre. Rien que de très normal.
A gauche, bof…réaction attendue puisque anti-israélienne par nature.
Quant à la Warsi, lady ou pas, elle vient surtout d’engranger le capital nécessaire pour une future campagne. Si elle se sent « moralement » affectée par les enfants de Gaza, elle n’a pas cru bon sentir la même compassion pour les enfants de Syrie. Pourtant, aux affaires étrangères elle a du forcément avoir des chiffres affolants la lady de pacotille.
On attend les prochains anoblis islamiques britanniques au tournant. Ils n'ont que ça à foutre les pauvres.