Des tags à caractère antisémite ont été retrouvés, dans la nuit de jeudi à vendredi, sur un mur, rue Jules-Amilhau dans le secteur de Bagatelle à Toulouse. Glorifiant Mohammed Merah, le tueur au scooter, ils insultaient la mémoire des victimes de l'école Ozar Hatorah ainsi que des policiers de la DCRI et la BAC. Une enquête a été ouverte.
Hier, Luc Escoda, secrétaire zonal du syndicat Alliance, a tenu «à exprimer son écœurement, face aux tags racistes, antisémites et à la gloire de Mohammed Merah». Il demandait à ce «que tous les moyens soient mis en œuvre pour éviter que de telles horreurs se répètent».
Pour lui, cet épisode vient confirmer la «tension en constante augmentation dans les quartiers difficiles de la métropole toulousaine». Et de rappeler les derniers incidents : le 25 mars, les policiers «recevaient des boules de pétanques et des cailloux» dans le quartier des Izards ; jeudi, «une patrouille du Mirail était obligée d'employer des moyens lacrymogènes pour se dégager lors d'un banal contrôle d'identité» (notre édition d'hier).
Pour le syndicat, «ces réactions des délinquants démontrent que l'action policière dérange la voyoucratie installée dans ces quartiers».
La Dépêche du Midi
Moralité les aminches : DÉMANTÈLEMENT DES COLONIES AUX ABORDS DE TOULOUSE !
Que l'armée qui s'escagasse à faire tampons entre tribus rivales en Afrique rapplique et fasse du ménage façon TSAHAL afin que les barbares cessent une fois pour toutes de s'en prendre tant à la police qu'aux simples citoyens.
Dans un premier temps, que ces colonies-quartiers soient mis sous contrôle financier en supprimant les allocs à toutes ces familles qui ne savent pas tenir leurs rejetons.
ET pendant ce temps là...
Le frère de Mohamed, Abdelkader Merah vient de se voir confirmer dans son maintien en détention par la Cour d'Appel de Paris, au grand soulagement des familles de victimes.
Rappelons les tirades du djihadiste durant son audience :
La "justice d'Allah" s'imposait à celle des hommes, cette "pseudo-justice"
Il avait réfuté toute participation aux crimes de Mohamed Merah qui n'est "pas un héros" à ses yeux. Quant à savoir si son frère est "un martyr", seul le Prophète peut le dire, avait-il argumenté, selon les mêmes sources. Il avait encore expliqué qu'il condamnait désormais les actes de son frère puisque des théologiens saoudiens venaient de le faire.
Dans un monologue souvent ambigu, il avait légitimé "le jihad avec des règles", sans les préciser, tout en semblant parfois prendre ses distances avec une action violente.
Pour faire court, assumer son djihad en tentant de sauver ses fesses...Taqqya quand tu nous tiens...