Omar Barghouti, le créateur du mouvement pour le boycott d’Israel, a ses entrées à toutes heures au NEW YORK TIMES.
Aujourd’hui, les palestinophiles de la rédaction ont une nouvelle fois frappé.
Omar Barghouti, le Qatari de nationalité vivant à Ramallah ayant joui de l’apartheid israélien en ayant pu terminer un cursus universitaire à Tel Aviv, a confié au NYT :
« BDS s’inscrit dans un mouvement non violent ancré dans les principes des droits de l’homme. »
Son un mantra est le suivant : « Souhaiter l’égalité et les droits pour tous est-ce cela vouloir détruire Israël ? L’égalité a-t-elle détruit l’Afrique du Sud ou l’Amérique du Sud ? Certes, il a détruit l'ordre racial discriminatoire qui a prévalu dans les deux endroits, mais il n'a pas détruit les personnes ou les pays. »
Avec de tels sermons, Barghouti est AUDIBLE. On ne se méfie pas.
Ce que la bien-pensance internationale oublie de rajouter c’est que cet homme milite surtout pour une solution à UN SEUL ETAT AVEC DROIT AU RETOUR DE TOUS LES REFUGIES PALESTINIENS.
Ce nouvel état, certes arabe, reconnaitra la minorité juive et lui accordera une auto-détermination et des droits égaux aux arabes.
Toujours selon Barghouti, la nouvelle direction arabe Palestinienne sera bienveillante à l’égard des juifs dans le nouvel état démocratique de Palestine.
Futé, le brave Barghouti ne désire pas que sa prose soit inscrite dans les colonnes du New York Times de crainte que la fureur de l’AIPAC et d’autres organisations pro-israéliennes ne viennent troubler son mouvement BDS qui fonctionne au-delà de ses espérances.
Il s’est pourtant maintes fois prononcé sur son désir d’état unique dans lequel Israel disparaîtrait pour "enfin appartenir à la grande nation arabe qui se profile dans ce moyen-orient."
Ce sont donc les discours dans les Universités et colloques qu’il fréquente assidument que Barghouti évoque « sa nouvelle donne géopolitique moyen-orientale ».
Ce point de vue tout comme son bébé BDS, commence à lui aussi faire des émules.
Si Israël disparaissait…tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
L’agacement de la gauche vis-à-vis de l’irrédentisme juif, la haine des arabes de par le monde sont grandement partagés par les petits fachos d’extrême droite et gauche.
Finalement, si les juifs pouvaient arrêter d’être juifs, nous vivrions à coup sûr au Paradis.
Les musulmans pourraient convertir tout le monde et la charia pourraient enfin évincer à jamais la démocratie. Quelle revanche !
Omar Barghouti n’est donc rien de plus qu’un penseur musulman sauce Goebbels qui veut réaliser avant que la grande faucheuse ne vienne le chercher, le destin du grand califat.
Allah est donc grand puisque les principaux alliés des barbares sont athées, républicains, démocrates. L’Occident est à nouveau prêt à vendre ses juifs pour la gloire du fléau vert.
Barghouti qui réclame à corps et à cri une «égalité dans des principes venant d’Occident » n’a pas eu envie de se battre dans son propre camp pour que les femmes de son pays puissent enfin avoir des droits.
Dans la foulée, John Kerry ne se gêne pas pour annoncer qu’Israel sera de plus en plus isolé s’il ne cède pas aux demandes de la « communauté internationale ». Un chantage pur et dur comme seuls des démocrates américains en sont capables.
Céder. Céder. Céder ET OUBLIER pendant qu’on y est.
En 1948, rappellent des historiens, "des agents arabes ont parcouru le monde afin de recruter d’anciens nazis ainsi afin de combattre les juifs."
Ce que nous savions déjà hélas ! Va enfin paraître dans un livre à venir.
Voici en quelques lignes les conditions à remplir pour faire partie du grand mouvement qui éradiquera le tout nouvel état juif en 1948 :
« Des agents arabes aujourd'hui recrutent des mercenaires pour lutter contre les Juifs en Palestine parmi les Oustachis yougoslave et Tchétchènes, les Ukrainiens, les Albanais , les Circassiens ( anciens habitants de la région nord-ouest du Caucase ) et d'autres groupes qui étaient au côté d'Hitler durant la guerre. Ils seront désormais sous la garde de l'Organisation Internationale pour les Réfugiés. (I.R.O).
Tous les Hommes valides, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur des camps de l'IRO, qui ont entre 22 et 32 ans et qui accepteront les moyens arabes de paiement en vigueur au Moyen-Orient : l’entretien de leurs familles en échange d’un engagement à servir dans les forces arabes pour au moins un an – pourront être en possessions de visas par des gouvernements d’Égypte, Syrie et Transjordanie. Si ces mercenaires sont d'origine musulmane, ils seront officiellement réinstallés après des négociations officielles entre les gouvernements concernés."
Une façon pour les arabes de faire comprendre à ces nouveaux « combattants » que seuls les musulmans partageant les idées d’Hitler mais non arabes pourraient s’installer durablement sous l’égide de l’état Palestinien.