Ben Gourion avait ce rêve un peu fou pour l'époque de faire du Néguev un désert dans lequel pousseront fleurs et cultures céréalières.
Redonner à ce désert enfin une beauté pareille à celle évoquée dans certains chapitres de la Bible était plus qu'une demande mais une vision ainsi que sa demeure de toujours.
Oh ! On fait pousser des choses dans le Néguev et parfois des endroits insolites qui éblouissent tant d'entrepreneurs de tous horizons et de toutes nations qu'il apparaît normal que ces gros pontes des GAFAM ne cessent d'investir dans ce petit état têtu comme celui d'Astérix.
Imaginez en plein désert une entreprise produisant du caviar ! Ce n'est qu'un exemple certes mais n'importe quel humain penserait que ce serait le dernier endroit au monde pour y fabriquer une petite industrie piscicole très productive dont le caviar est renommé.
Pourtant, malgré cette vision mirifique du "vieux" (nom affectueux donné à Ben Gourion), force est de constater que ce qui a le plus fleuri dans ce désert 100 % israélien, ce sont LES BEDOUINS !
La méconnaissance crasse des potentats israéliens de gauche des us et coutumes bédouines a fait du Néguev une véritable pépinière à villages bédouins.
Au début, dans les années 80, ils n'ont pas vu venir ces hordes voulant absolument devenir israéliens et s'installant sans que cela ne dérange personne dans le désert et si possible aux abords des villes israéliennes en construction.
Être aussi aveugles et irresponsables par "idéologie" a des conséquences aujourd'hui, d'une extrême gravité.
D'autres tribus bédouines se sont installées en masse, revendiquant leur citoyenneté israélienne alors qu'elles erraient dans le Sinaï et ont flairé surtout une façon de garder leurs coutumes très barbares tout en touchant toutes les allocations israéliennes.
Comment posséder un cheptel de femmes et d'enfants en moins de quelques années ?
On épouse une bédouine israélienne de laquelle on divorcera après un ou deux enfants puis on en épouse une autre, puis une autre puis encore une autre pour faire comme le "prophète".
Seulement le marché des femmes arabes israéliennes étant complètement bouché pour cause de mépris des familles arabes d'Israel pour les bédouins, ces derniers n'ont plus qu'un endroit où se fournir en femmes : GAZA !
Les dots fournies par les familles gazaouis pour leurs filles qui jouiront ainsi de la citoyenneté israélienne et feront venir les membres de leurs familles s'ils sont des problèmes de santé ou en vacances sont LEGIONS.
Un bédouin du Néguev de base possède 4 femmes et 15 enfants en moyenne. Le divorce frauduleux permet surtout à l'homme de famille d'avoir plus de revenus et plus de femmes à engrosser.
L'EXOTISME SUPPOSE DES BEDOUINS DU DESERT
Beaucoup de gens ignorent un fait pourtant visible à l'oeil nu, les bédouins du Néguev n'ont pas l'ombre d'un respect du fameux désert.
Les lumières de la ville et tout ce qu'elle offre en termes de réjouissance de la vue et du consumérisme sont appétissantes pour ces hommes qui ne travaillent quasiment jamais et n'ont d'autres menues tâches qu'un petit cheptel de moutons.
Inutile d'imaginer que le désert immaculé des traces de l'homme, ils s'en fichent comme vous n'avez pas idée.
Prenez la route de DIMONA jusqu'à MITZPE RAMON en plein Néguev et voyez par vous-mêmes l'horrible désert jonché par des centaines de sacs plastics et d'ordures ménagères que nos locataires bédouins répandent en se foutant bien des consignes de l'environnement.
Les bobos écolos qui ne zonent que vers Tel Aviv et dans les riches villes n'ont pas eu le cœur d'aller voir ce que font ces "braves bédouins" car l'idéologie ne suit pas.
Ce sont des arabes donc forcément des gens qu'il faut défendre quand bien même ils sont polygames, esclavagistes vis-à-vis de leurs femmes et des fainéants tout juste bons à grimper leurs femelles.
Après avoir terminé votre route, le long de ce désert devenu une décharge, vous arrivez sur cette petite place de MITZPE RAMON où vous n'avez qu'une envie : boire quelque chose de frais tout en commençant à regarder autour de vous.
C'est à ce moment que vous notez le manège dont certains locaux vous disent qu'ils sont habitués à voir tous les jours.
Les bédouins se délectant du paysage de cette ville tout en buvant leur coca frais tandis que leurs femmes TOUTES DE NOIR VÊTUES font les poubelles consciemment en éventrant les sacs et bien sûr en laissant les ordures déversées autour des containers.
Il faut bien que l'homme se repose !
La municipalité ne peut même pas demander aux bédouins de faire cesser ce carnage journalier car les hordes de Tel Aviv et d'autres banlieues chics passeraient pour les accuser de fascistes et de racistes.
Tout va donc bien dans le NEGUEV : Les bédouins fleurissent par milliers, les gazaouis y sont fortement implantés et peuvent vider les caisses de santé et pire encore le regroupement familial est possible !
Tous ces villages bédouins où la police ne peut entrer sont bourrés d'armes et construits illégalement.
Qu'est ce qui a démotivé les israéliens de réagir tout de suite lorsqu'ils ont vu toutes ces décennies comment vivaient ces bédouins qui n'avaient rien d'israéliens et se voyaient plus sous la coupe de l'Egypte ou de la Syrie ?
Manquer à ce point de connaissance parce que le lobby en place était ashkénaze relève tellement de la cécité qui coûte cher aujourd'hui et coûtera encore plus cher demain.
En termes de vies, d'espace, de colonne intérieure pouvant à tout moment tirer sur des civils et des soldats.
"JE VEUX FLEURIR LE DESERT !" disait Ben Gourion.
Il a bien fleuri et il y a même une énorme surproduction...de bédouins.
Était-ce vraiment conforme à ses attentes ?
Nina
PS : MISS MARPLE ALIAS KRISTIANE devrait en toute légitimité signer cet article.
Elle a vécu ces routes du Néguev et vu de ses propres yeux ces gros porcs bédouins qui buvaient leurs cocas tandis que leurs moukères faisaient consciencieusement les poubelles.
Kristiane que tous ici vous connaissez a un oeil d'aigle et une acuité intellectuelle qui m'épatent à chaque fois.
Elle n'a pas seulement "VISITE" "REGARDE" ISRAEL !
Kristiane a posé les bonnes questions et a pris tout son temps pour observer et tout de suite interpréter de façon pragmatique les maux d'Israel tout en savourant son pays de prédilection depuis toujours.
Rien ne lui échappe même quand elle prend un bus en Israel. Elle ne cesse jamais de se renseigner sur le pays, ses habitants et va volontiers au devant d'eux pour en savoir toujours plus.
A croire qu'un de ces quatre, elle nous pondra un mémoire bien fouillé sur ERETZ ISRAEL vu par une goy.
Merci à elle et à son enthousiasme sans répit pour la terre de nos ancêtres, celle de mon âme et pour le peuple que nous sommes.