Pendant de nombreuses années, tout débat public sur les liens entre accroissement du nombre des migrants, envolée des niveaux de criminalité et violence des gangs a été tabou. Les statistiques sur le sujet ont même cessées d'être publiées. Les derniers tableaux du Conseil national suédois pour la prévention du crime (Brå) remontent à 1996 et 2005. En 2017, le ministre de la Justice de l'époque, Morgan Johansson, a même refusé de publier des statistiques qui mentionnaient l'origine ethnique des criminels. Cette information n'avait rien de pertinent avait-il affirmé et la majorité de députés lui avait donné raison. Même les recherches privées sur le sujet ont été ignorées. Mais au fur et à mesure que les fusillades se sont faites quotidiennes, qu'elles ont mutilé et tué de plus en plus de passants innocents, l'innommable a fini par faire débat.
Lisez les chiffres, je vous les ai souvent donnés car ils m'étaient envoyés par un suédois durant quelques années.
Il n'avait jamais vu ça de sa vie et craignait même d'emmener sa fille à l'école.
Toutes ressemblances avec notre pays ne sont pas fortuites.
Même les islandais pourtant peu affectés par de gros flux migratoires bien qu'il en existe tout de même COMMENCENT A GUEULER...C'est dire !
Si l'alcool ne fait plus l'effet tranquillou de la Scandinavie, où allons-nous ?