En Israel ET tous les pays occidentaux ont un problème MAJEUR.
LE BÂTIMENT EST DANS LES MAINS DES SEULS TRAVAILLEURS ARABES ET AFRICAINS.
Il fut un temps où ces "amants de Sion" qui ont ouvert la voie à la renaissance de l'état d'Israel, ces hommes et femmes ont du s'improviser agriculteurs, bâtisseurs de maisons, de kibboutz et tous ces métiers qui ont au fil du temps été dévolus aux seuls arabes.
Il faut donc tous les jours laisser des arabes venus de Judée-Samarie se mettre à la tâche et ériger des buildings, des maisons, travailler dans les champs et dans des secteurs délaissés par la population juive.
Cette erreur est FONDAMENTALE.
"Comme on fait son lit on se couche" dit un très sage proverbe français.
Or, tous les israéliens ne peuvent travailler dans la high tech ou en médecine pour ne citer que ces deux métiers considérés comme prestigieux.
Délaisser tout le pan de l'érection de nouveaux villages et donc donner à des architectes REPENSANT des villes à taille humaine avec des technologies permettant par exemple d'utiliser ce que l'état d'Israel a à profusion : l'énergie solaire afin de permettre à tout le peuple et tout particulièrement aux jeunes couples qui veulent s'installer, des appartements moins chers et des coûts d'énergie très modiques.
Les bâtisseurs, les concepteurs, les plombiers, tous ces métiers doivent être réévalués. Des écoles d'artisanat doivent s'ouvrir rapidement et toute une génération d'hommes et de femmes doivent aussi pouvoir opter pour bâtir un pays qui ne peut contenir que des ingénieurs qui, d'un jour à l'autre, peuvent partir à l'étranger pour gagner plus d'argent.
Il en va de même pour la France.
Combien de fois avez-vous entendu ces nouvelles générations d'immigrés dire : "C'est nous qui avons bâti la France, ce sont nos parent qui ont construit vos maisons, etc...".
Les fameux idiots utiles du capitalisme très dévoyé sont devenus des ennemis de l'intérieur.
Ils n'iront jamais dans le bâtiment puisqu'ils gagnent plus à devenir des délinquants dans des zones qu'ils contrôlent et qui sont de plus en plus nombreuses.
Des petits métiers qui aidaient les étudiants à pourvoir à leurs frais d'étude, les taxis, les voies d'approvisionnement, les ambulanciers, tous ces métiers qui n'ont plus qu'un seul visage, croyez-vous que la France et les français y ont accès de nos jours ?
Vous vous trompez lourdement. Aujourd'hui, même pour distribuer des repas dans des cantines scolaires ou faire le ménage dans des administrations, il faut cocher la case ISLAM.
J'ai connu des femmes qui n'ont pu trouver du travail à cause de "ce syndicalisme très sélectif consistant à avoir LA GUEULE ET LA RELIGION DE L'EMPLOI".
Le jour où l'Occident verra à quel point il est dépendant, alors peut-être que nous repenserons le travail.
Idem pour Israel qui s'est fourvoyé en mettant de côté ces métiers indispensables pour sa pérénité et sa tranquillité.
Le nombre d'accidents créés par des arabes venus travailler sur des chantiers en Israel et qui se sont soldés par des meurtres sont souvent occultés pour "le bien-être des entrepreneurs".
C'est un arabe qui est venu tuer des étudiants d'une yéshiva à Jérusalem. "Il avait toujours été gentil auparavant...".
Le massacre de Merkaz Harav, également appelé attentat de Merkaz Harav, est un massacre perpétré par un Arabe israélien dans la yeschiva Merkaz Harav, une école confessionnelle de Jérusalem, le 6 mars 2008. Le tireur isolé, après s'être introduit dans la bibliothèque avec un fusil d'assaut, y fait feu, tuant 8 étudiants et en blessant 10, avant d'être abattu.
1er mai 2014 Migdal HaEmek 1 mort Un conducteur de taxi tue sa passagère au couteau, une fille de 20 ans.
La liste des meurtres commis sur des civils israéliens est si longue que vous n'en croiriez pas votre lecture. Ce sont des arabes "israéliens" ou des arabes venus de Judée-Samarie et porteurs de cartes de travail à chaque fois.
Les exemples ne manquent pas mais regardez, faites le compte et examinez tous les secteurs que ce soit en France, en Israel et vous comprendrez les énormes dégâts et la catastrophe à venir.
Comme on fait son lit, on se couche.