Avoir l'outrecuidance de demander des excuses aux profs accusés faussement d'islamophobie c'est donner des ailes aux salafistes.
Désormais les "apprenants" veulent en découdre avec les "sachants".
Je savais l'inversion des valeurs dans l'ère du temps mais si demain les mouflets demandent des excuses à leur maître d'école parce qu'il aura osé demander de rectifier un verbe mal conjugué et qu'il aura fait souffrir le pauvre petit chose, faudra pas venir vous plaindre.
Je reprends une partie du reportage du Point sur cette affaire :
Un témoignage anonyme - émanant, selon l'étudiante qui l'a lu devant les manifestants, "d'une personne concernée par l'islamophobie" - dénonce "les propos discriminatoires" du professeur tenant le cours "Islam et musulmans de France".
Ce témoignage dénonce des "amalgames" et la "paresse intellectuelle" du professeur "qui n'avait de cesse de rappeler les origines chrétienne de la France". "Il est dangereux d'avoir des figures de l'autorité (...) proposant de tels cours qui sont intellectuellement et moralement inacceptables", ajoute l'auteur du texte.
"L'islamophobie, c'est la mort et la terreur", a ajouté une seconde étudiante lisant un second témoignage anonyme. "Ce sont les mosquées attaquées comme les femmes voilées poignardées. C'est la peur, tous les jours, que ça arrive".
Les témoignages sont anonymes : L'EST PAS BELLE LA FRANCE ?
Des profs qui "auraient" (conditionnel) eu des propos discriminatoires concernant l'islam et les musulmans de France.
On se trouve dans un cas de figure déjà vu et revu et le dernier en date est celui de la gamine de 13 ans qui avait dit qu'elle avait été mise hors du cours de Samuel Paty alors qu'elle séchait l'école ce jour là.
Les "on dit" et les "conditionnels" ajoutés aux fameux ANONYMES auront la peau d'enseignants qui n'oseront même plus prononcer le mot "islam" ou "musulman".
L'ère de la terreur des années de plomb de l'Algérie où le FIS et l'armée massacraient est enfin bien installée en France.
Thomas Mandroux veut des excuses ? Même avec un masque on voit que c'est une belle tête de con, sûr de lui et de sa fatuité : "Ouais...j'suis étudiant à Sciences Po donc je vous pisse à la raie..." et tout ça devant un parterre de journaleux qui s'emmerdent quand il n'y a pas de cadavres ou de rixes dans la région.
On donne vraiment la parole à n'importe qui. Il paraît que c'est la pandémie qui veut ça !
Je lui dirais bien d'aller se torcher ailleurs que dans une fac française et d'aller déprimer avec ses potes dans une fac du Maghreb. Quelle chance, il y a même des francophones dans ces universités qui seraient prêts à venir à la nage chez nous.
AH CES MERDEUX IGNARES ET TOTALITARISTES NE CESSERONT DE ME BOUFFER L'AIR !
Vas te faire covider chez Eyroux le Mandroux. Peut-être que les chèvres et les migrants te foutront du baume au cœur.