Ces femmes qui luttent contre la présence de drogue dans les écoles maternelles et primaires de leur ville SAINT DENIS sont plus "présentables" à la télé via leur voix.
En effet, ce matin même, une des représentante qui s'exprimait sur leur association et leur chaîne humaine présente tous les matins devant leur école, n'était pas voilée et s'exprimait en bon français.
Toutefois, j'ai tenu à montrer cette chaîne humaine.
Toutes ces femmes voilées qui refusent qu'on mette de la drogue dans les écoles de leurs enfants et font barrage aux dealers SONT DES FEMMES.
Cela ne choque personne que les pères soient absents ?
On dénombre plus de familles monoparentales dans les quartiers dits sensibles.
Non seulement l'islam y est radical et omniprésent dans toutes les structures administratives et policières mais les fameuses cellules familiales se composent majoritairement de "femmes isolées".
Cela dénote surtout que la polygamie cachée est une réalité.
Comment comprendre que ces femmes, divorcées pour la plupart et ne travaillant pas, continuent d'avoir des enfants ?
Parce qu'elles restent mariées au regard de la shariah et se contentent de produire des générations de bons musulmans.
Sous prétexte d'une loi idiote excluant le comptage des citoyens selon leurs dogmes ou ethnies, aucune statistiques ne pourront être faites.
Cela arrange bien les affaires des gouvernements successifs qui, sous la grosse ficelle de l'antiracisme, ne veut pas que l'on connaisse la réalité de notre société.
Il vous suffit de rechercher les antécédents des Merah, Coulibaly et autres terroristes pour vous rendre compte que les pères étaient absents.
Aujourd'hui, les fameuses familles monoparentales et les mères "dépassées" par leur marmaille ne sont en fait que des femmes mariées par des imams et percevant des allocs nombreuses ainsi que des logements prioritaires.
Encore une fois : "comment des femmes considérées comme parent isolé, continuent d'avoir des enfants ?" Sont-elles vraiment seules ?