A l’ère où les lobbies puissants que sont devenus les LGBT revendiquant la fierté et la légitimité d’avoir des enfants par gestation par autrui, nous entrons dans une ère où tous les repères sont rejetés au nom de la Sainte Inquisition des Esprits pseudo-libérateurs.
La marchandisation des enfants va aller bon train et tant pis si les progénitures auront un besoin irrépressible un de ces jours de connaître leurs réels géniteurs et génitrices.
Il est fort possible que dans ce fatras mondial où les ventres se louent que des frères et sœurs de laboratoires fassent eux-mêmes des enfants puisqu’ils ignoreront leurs réelles provenances.
La société moderne veut abolir le dernier symbole qui faisait consensus durant des millénaires : la famille.
Aujourd’hui, les familles recomposées puis décomposées pour à nouveau se recomposer sont nombreuses.
Qui est qui ? On s’en fout. L’important est donc d’avoir quelque chose qui ressemble même de loin à une cellule familiale.
Les enfants ne sont pas gênants. Ils suivent...du moment qu’ils restent pas trop loin d’un de leurs parents. On ne les interroge pas, on évite même de leur présenter les choses sous des angles peu reluisants.
Un divorce ? Hourra !!! Plus de cadeaux comme pour compenser ce qu’ils n’auront plus jamais : une famille réelle.
Rien ne devrait nous rassurer dans l’effondrement des valeurs fondamentales comme la cellule familiale qui, quoiqu’on en dise, restait l’endroit où les enfants majoritairement y trouvaient leurs comptes.
Bien sûr que des ratés existent et que le divorce est un droit inaliénable lorsque deux adultes ne s’entendent plus. Il faut pourtant noter la profusion des divorces et les résultats désastreux qu’ils occasionnent pour beaucoup d’enfants.
Alors que les demandeurs d’enfants par PMA ou adoptions dans des pays qui ne demandent qu’à faire commerce de leur trop-plein d’enfants, il serait avisé de défendre la famille plus que jamais.
Pourquoi parler de GEMATRIA ?
Parce que le simple fait d’avoir écouté Aldo Naoury, grand pédo-psychiatre et philosophe, essayiste parler des désordres sur « l’enfant-roi » et les décompositions des familles m’a ému et conforté dans l’idée qu’une famille doit rester une famille même lorsque les compromis sont nécessaires. Même après un divorce.
Qu’est ce que la Gématria ? En voici une petite définition qui demanderait beaucoup plus que ces quelques phrases. Personnellement je l’appelle la science des nombres du Talmud. Cela me suffit.
La gematria (גימטריה, aussi « guématrie » ou « gématrie ») est une forme d'exégèse propre à la Bible hébraïque dans laquelle on additionne la valeur numérique des lettres et des phrases afin de les interpréter1. Gematria, Temura et Notarikon sont les trois procédés de la combinatoire des lettres (hokhmat ha-zeruf), pour déchiffrer la Torah. La littérature talmudique reconnaît l'intérêt de la gematria « classique » mais met en garde les profanes contre le risque de superstition.
Elle se fonde sur la numération hébraïque, dans laquelle, comme dans les autres civilisations méditerranéennes anciennes, les nombres sont notés avec les lettres de l'alphabet. Cette numérologie était utilisée originellement par les Sofrim (les « scribes », mais aussi « ceux qui racontent » ou « ceux qui comptent ») pour enseigner lecture et écriture et pour vérifier l'exactitude de leurs copies.
Le mot « gematria » est dérivé du mot grec signifiant « géométrie ». Dans cet article « gematria » et « guématrie » sont utilisés indifféremment. On rencontre aussi l'expression « numérologie hébraïque ».
Pourquoi avoir introduit sur l’éclatement de la cellule familiale et parler de la gématria ?
Parce que l’émotion justement qu’a suscité les valeurs numériques de PERE = 3 et de MERE = 41
et ENFANT = 44
La valeur numérique d’un père et d’une mère donne la valeur du mot enfant lorsqu’on les additionne.
Cela paraît anodin pour beaucoup et je le comprends. Pour moi ce fut une révélation justement parce que nous vivons ce dévoiement pervers d’une officialisation de la PMA ou de la Gestation pour autrui.
La vente des enfants, la location des utérus vont devenir une normalité contre nature.
Il ne s’agissait pas pour moi de faire des homosexuels des boucs émissaires de cet article mais des adultes responsables qui devraient savoir qu’un enfant ne se monnaye pas et qu’un mâle et une femelle sont nécessaires à la vie.
Je ne suis pas homophobe mais pragmatique. Les gay-friendly m’ont toujours emmerdé. Les gay pride encore plus.
L’avenir des enfants m’est bien plus chère que ces désirs déviants que beaucoup s'ingénient à nous vendre comme un DROIT.
Non. Avoir des enfants de ces façons n'est pas un droit. C'est un pas de plus pour anéantir à jamais la famille traditionnelle qui était le seul refuge naturel d'hommes, femmes et enfants.