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LES SOURCES DU NEW YORK TIMES PAYÉES PAR BOING

MessagePublié: Juin 29th, 2016, 8:08 am
par Nina
Ce ne sera pas la première fois que le NYT, la fameuse bible des américains, aura fauté au point d'influer directement sur la politique étrangère des USA.

Ce journal est devenu depuis la seconde guerre mondiale, une sorte de merde au service du parti démocrate. Sans honneur, sans honnêteté intellectuelle, les Sultzberger, anciennement juifs puis presbyterian, ont depuis longtemps trempé dans de sombres affaires politiciennes pour rester au top du canard le plus lu des USA, voire du monde.

Le dernier scandale qui éclabousse le NYT n'est pas banal puisqu'il concerne la source des négociations sur l'accord iranien et les USA. Il est évident que le conseil de sécurité de l'ONU y était favorable, l'appât du fric n'épargnant évidemment personne.

SCANDALE : LA SOURCE PRIVILÉGIÉE DU NEW YORK TIMES SUR L'IRAN ÉTAIT PAYÉE PAR BOEING

Ira Stoll Adaptation Thérèse Zrihen-Dvir


La révélation que Thomas Pickering, ancien fonctionnaire du Département d'État qui a préconisé l'accord nucléaire iranien, servait également en qualité de consultant rémunéré chez Boeing, d’où un scandale pour le New York Times.

The Times a mentionné l'ambassadeur Pickering dans au moins 29 articles durant la dernière décennie, selon une analyse d’Algemeiner des archives du Times. Dans aucun des 29 cas il n’y eut de divulgation concernant les rémunérations de M. Pickering payées pour Boeing, qui va récolter des dizaines de milliards de recettes supplémentaires rendues possibles par l'allégement des sanctions que l’Iran a obtenu grâce à l'accord nucléaire.

Les rémunérations offertes par le constructeur aéronautique américain à l'ancien diplomate ont été dévoilées la semaine dernière dans une dépêche de Betsy Woodruff, que le Daily Beast a publiée et qui dit :

« Pickering a confirmé par courriel - de son adresse e-mail chez l’entreprise Boeing - qu'il faisait partie du personnel de l'entreprise depuis 2001 à 2006 et fonctionnait en qualité de consultant rémunéré pour elle.

«Je suis un employé de Boeing depuis 1/2001 au 6/2006 », a-t-il confirmé par courriel. «Je suis un consultant direct chez Boeing de 7/2006 jusqu'au 12/2015 lorsque le contrat de consultation a été viré à Hills pour mon travail ».


« Hills » se réfère à Hills & Company International Consultants, où Pickering est directeur. Dans un courriel précédent, Pickering faisait référence à son actuel «accord de contrat avec Boeing ».

La semaine dernière, Boeing avait confirmé qu’Iran Air - transporteur national de la République islamique - envisageait l’achat de 80 avions Boeing pour 17,6 milliards $ et louerait une 30. Sans l'accord iranien auquel M. Pickering a œuvré à son adoption, la transaction aurait certainement été interdite par les sanctions économiques américaines imposées sur l'Iran.

Le rapport Daily Beast ne nous révèle pas le montant de la somme payée à M. Pickering pour son travail chez Boeing. Cela représenterait un excellent domaine pour des rapports supplémentaires.

Un article du Times nous décrit M. Pickering en qualité d’«ambassadeur américain à la retraite à l'Organisation des Nations Unies » impliqué maintenant dans le projet iranien - groupe qui cherche à améliorer les relations entre l'Iran et les États-Unis ». Un autre article le décrit comme «un ancien ambassadeur et sous-secrétaire d'état, ardent défenseur des négociations avec l'Iran ». Le Times présentait M. Pickering comme un expert sur l’Iran, «l'un des diplomates les plus expérimentés de la nation ». Dans au moins 14 différents articles de presse, quelques journalistes vétérans en diplomatie et sécurité nationale au Times - David Sanger, Mark Landler, Somini Sengupta – faisaient maintes et maintes fois appel à M. Pickering pour citations, contexte et opinions, sans jamais, même une fois, divulguer aux lecteurs du Times qu'il était payé par une société sur le point de conclure une affaire de milliards de dollars en vendant ses avions à l'Iran si un accord d’annulation de sanctions est achevé.

The Times op-ed et le dossier de la section éditoriale concernant M. Pickering sont tout aussi mauvais qu’embarrassants. Richard Cohen du Times a écrit au moins trois colonnes – en partie- au sujet de M. Pickering sans jamais révéler une seule fois son travail chez Boeing. M. Pickering lui-même a écrit un éditorial pour le Times, un op-ed pour ‘International Herald Tribune du Times’, et une lettre au rédacteur en chef du Times. Pas une seule de ces trois pièces ne révèle son travail chez Boeing ; l'op-ed de la description biographique mentionne simplement aux lecteurs du Times que «Thomas R. Pickering, sous-secrétaire d'État pour les affaires politiques dans l'administration Clinton, a servi comme ambassadeur américain en Russie, Israël, en Jordanie et à l'Organisation des Nations Unies ».

Les chroniqueurs op-ed et éditorialistes du Times décrivent M. Pickering comme « convainquant », « respecté », « réfléchi » et « bien connecté ». Il possède apparemment toutes ces quatre qualités. Mais on pourrait penser que quelque part dans au moins deux éditoriaux, neuf pièces op-ed et trois articles de blog publiés au sujet de M. Pickering, que le journal souhaitait impressionner ses lecteurs au sujet de ses liens avec Boeing.

Je ne prétends pas que l'opinion de M. Pickering ait été achetée. Il se peut qu’il ait été en faveur d'un accord avec l'Iran, même s'il n'avait pas été reporté sur la liste salariale de Boeing. Peut-être que c’est Boeing qui l’ait cherché et l’aurait payé en raison de ses vues préexistantes acquises indépendamment. Mais étant donné l’énorme enjeu financier de Boeing dans l'issue de l'affaire iranienne, et compte tenu de la haute surveillance que le Times applique pour niveler l'émergence de conflits potentiels en matière d'intérêts financiers et d'autres questions de politique publique, c’est une défaillance colossale.

Imaginez si, par exemple, qu’il s’agit d’un officiel vétéran en science du climat donnant son opinion dans les pages du Times au sujet de la législation sur le réchauffement planétaire sans révéler qu'il sert de consultant rémunéré chez une entreprise de charbon. Ou imaginez s’il s’agit d’un ancien consultant fédéral sur le cancer donnant dans les colonnes du Times son opinion sur le règlement du tabagisme sans révéler sa position de consultant rémunéré chez une compagnie de cigarettes.

Toute l’affaire deviendrait un thème excellent pour l'éditeur du public Times. Mais les lecteurs du Times, n’ont reçu aucun service d’un éditeur public depuis le dernier article diffusé sur le blog de l'éditeur public le 15 Avril, laissant une fente de plus de deux mois au cours desquels le bureau chargé d'enquêter sur des questions d'intégrité journalistique au Times est vacant ou au moins silencieux.

Un éditeur public pourrait se demander si les éditeurs ou journalistes du Times ont pris la peine de demander à M. Pickering s'il était un consultant payé par les clients intéressés dans le commerce avec l'Iran. Qu'aurait dit M. Pickering au Times, si le journal l’avait questionné ? Si le Times n'a rien demandé, pourquoi a-t-il échoué ? Est-ce que le scepticisme journalistique habituel est figé quand une source ou une opinion serviable d’un chroniqueur est d’épauler un accord qui offrirait des milliards à un terroriste ennemi d’Israël ? Toute la situation est une honte pour le Times. Mais pour se sentir gêné, cela exige un sentiment de honte, qui, hélas, nul ne sait si le Times en possède envers ces points.


Ah mes aminches ! BOING VIENT DE VENDRE UNE CENTAINE D'AVIONS A LA REPUBLIQUE ISLAMIQUE D'IRAN !

Le pognon vous dis-je !

Mais, sans doute pour rassurer les israéliens et juifs francophones, on envoie des "spécialistes" comme récemment sur I24 News, vous dire que ce deal entre BOING ET L'IRAN, n'est pas si mauvais que ça pour Israel !

Vraiment ?

Il est même préférable lorsqu'on est PRAGMATIQUE de choisir BOING et non AIRBUS.

Perso, je suis d'accord. Que les USA soient avides de dollars, c'est dans l'ordre des choses et même si les zengils démocrates sont au pouvoir.

Pour AIRBUS, c'est bon pour la France et la Grande-Bretagne mais...que va devenir cette entreprise au moment du divorce ? De plus, mon pays, la France et son "initiative de paix entre Israël et les arabes" me gave au-delà de tout. De quoi me mêle-je ? Il n'y a pas plus urgent que ces négociations entre un taré négationniste et terroriste (Abbas), une organisation criminelle et terroriste (Hamas) et Israël ?
Il n'a rien d'autre à foutre AYRAUT ?
Bien fait pour Hollande et sa rage du Brexit ! De toute façon, faut se méfier de ce mec, depuis qu'il est au pouvoir TOUT LE MONDE SE NOIE ! C'est quoi cette putain de pluie qui ne cesse jamais ? Qu'il aille au Sahel ce mec au moins il fera une BA !

Un spécialiste donc, s'est pointé pour dire que 10 % de l'électronique de BOING étaient fabriqués par Israel. :shock:

Secret de polichinelle mais on se demande pourquoi les mollahs qui ont la haine des juifs acceptent ce deal. Mystère....

Tout simplement parce que refuser aux juifs ferait vraiment mauvais genre pour les Iraniens qui veulent à tout prix aller et venir à leur guise dans le pays du grand SHAYTAN ! Ils sont donc prêts à garder ces 10 % d'équipement électronique sioniste.

D'autre part, le rôle joué par la fameuse diaspora iranienne installée au LENDEMAIN DE LA RÉVOLUTION ISLAMIQUE aux USA, commence à jouer un rôle plus que trouble dans les institutions américaines.

Le noyautage du PARTI REPUBLICAIN par cette diaspora iranienne riche et cultivée, doit nous mettre mal à l'aise.

Le parti démocrate est LE PARTI DES ARABO-MUSULMANS ou plus largement des SUNNITES.

Le parti républicain devient le PARTI DES CHIITES !

Les Etats-Unis sont vraiment mal barrés ! Ce sera sur fond de guerre entre ces 2 ennemis irrédentistes qu'ils devront se débrouiller.

La menace vient désormais de l'intérieur. Nous connaissons cela en vieille Europe.

Si, effectivement les chiites de la diaspora iranienne ET pakistanaise (seconde plus grande communauté chiite après l'Iran), phagocytent le parti républicain, il faut vraiment fermer les jambes avant de se faire violer de façon halal du moins...quand on est américain !

Quelle sacrées parts de marchés viennent de prendre ces musulmans. S'inscrire, se frayer un chemin vers la Maison Blanche et surtout ARROSER TOUS LES SÉNATEURS, DÉPUTÉS ET GOUVERNEURS, ça, ils l'ont bien compris depuis des lustres les bédouins et les ayatollah.

Le fameux lobby juif va avoir beaucoup de fil à retordre pour simplement exister. Beaucoup de sunnites et chiites ont fait souche. Ils disposent de bien plus de finances et désormais d'influence dans tous les campus universitaires et associations en tous genres pour comme ils disent : "BAISER L'AIPAC ET LES SIONISTES !".

Ce n'est pas comme si on n'avait rien vu arriver mais pas tout le monde hélas ! Pas les décisionnaires et encore moins les associations chrétiennes très nombreuses.

Le tournant terrible de ce "nouvel amour" pour l'islam nous vient des évangélistes, du moins des jeunes évangélistes élevés au bon grain de la spiritualité et de la FIGURE CHRISTIQUE QUE REPRÉSENTE LE PALESTINIEN.

Eux aussi ont fréquenté des campus où l'endoctrinement anti-sioniste est de mise. Eux aussi sont gavés d'émissions et de bulletins d'info ainsi que de journaux comme le New York Times, dans lesquels Israel riposte trop et trop bien contre ses ennemis.

Si seulement il y avait plus de juifs morts...on pourrait recouvrer notre compassion d'après-guerre...

C'est ignoble et pourtant aussi basique que ce que je viens d'écrire. Les juifs, tant qu'ils ne sont pas en réel danger, n'émeuvent personne.

C'est là que je m'insurge. Puisque le "PLUS JAMAIS CA !" ne fonctionne pas, il faut s'appliquer à continuer de se défendre sans la cacheroute qu'on nous impose pour répondre aux actes de guerre.

Pour moi c'est et cela restera : "FAITES PAS CHIER SINON VOUS ALLEZ LE REGRETTER !".