Le réalisateur Sean Stone, le fils du célèbre directeur qui a remporté un Oscar, s'est converti à l'islam en Iran, où il réalise un documentaire, a-t-il dit mardi à l'AFP.
"La conversion à l'islam ne signifie pas l'abandon du christianisme ou du judaïsme dans lesquels je suis né. Cela veut dire que j'accepte Mahomet et les autres prophètes", envoyés par Dieu, a-t-il dit au téléphone depuis Ispahan (centre) où il se trouve.
La père de Sean Stone est juif alors que sa mère est chrétienne.
Agé de 27 ans, Sean Stone n'a pas expliqué les raisons de sa conversion.
Selon Fars, Sean Stone a embrassé le chiisme, branche de l'islam majoritaire en Iran, et a choisi pour prénom Ali.
Ali Sean Stone a joué des rôles mineurs dans des films réalisés par son père, et réalisé une série de documentaires.
ON S'EN FOUT ! Des brèles de cette envergure, nés dans le milieu très à gauche américaine sont voués à devenir de bons musulmans.
Ce qui est curieux par contre, c'est qu'en pleine controverse avec l'Iran par laquelle on peut à tout moment entrer en guerre, Sean ou plutôt ALI choisisse le chiisme.
C'est encore d'Iran qu'il fait son "coming out".
Son père qui n'a eu de cesse de glorifier Yasser Arafat ou Fidel Castro, via des documentaires, n'aura eu que la monnaie de sa pièce. Parce que c'est une calamité !
Pas sûr, du reste, qu'Oliver soit mécontent du choix de son rejeton. Les chiens ne font pas des chats.
Nous attendons avec impatience les futures entrées en islam de ces gamins élevés à l'ombre d'Hollywood, des évènements qualifiés d'underground...très branchés.
Si des antisémites acharnés voient dans le Hollywood d'aujourd'hui la main-mise des "juifs honnis", qu'ils sachent que depuis au moins 3 décennies, les arabes ont fait main basse sur l'industrie cinématographique avec les conséquences que l'on connait.
Si un scénario un peu trop connoté pro-américain ou israélien émerge, il est vite mis à l'index. Les majors prennent leur temps vu que les arabes sont les détenteurs du Dieu fric !
Les marines en Irak seront FORCEMENT de grosses brutes qui regrettent d'être partis en guerre, etc...etc...
On a les même en Israël : pas un film concernant Tsahal qui ne soit truffé de commisération à l'égard de ces pauvres arabes. Une armée victorieuse ne fait pas recette et il est à déplorer aussi en Israël la main-mise de la gauche bien-pensante qui ne songe qu'à une seule chose : dégommer les soldats pour faire plaisir à leurs amis de gauche européens et/ou américains.
S'auto-flinguer est une constante chez les juifs !
Désormais sur les sets de ciné, on trouve bien entendu une autre bouffe par exemple : "Hallal certified".