COMMENT FABRIQUER UN CALIFAT EN FRANCE

COMMENT FABRIQUER UN CALIFAT EN FRANCE

Messagepar Nina » Janvier 18th, 2012, 11:45 am

Il suffit en fait de disposer de très peu de moyens pour faire d'un quartier, d'une ville et parfois d'une région française un califat.

Le Nord de la France mais aussi l'Ile de France ou bien les banlieues de Lyon, Marseille, les environs de Sochaux, Montbélliard sont autant de places fortes que le pouvoir islamique peut dominer.

Le cas des Delcour est presque banal. Il est vrai aussi que ce type d'articles ne peut se lire que dans la presse de proximité de crainte que le bon peuple de France n'y voie une oeillade amicale vers le FN.

Et pourtant...Combien de temps encore pourra-t-on ignorer ces zones de non-droit où l'islam est la seule référence culturelle dans notre pays ?

Que doit-on penser ? Que doit-on faire ? Avons-nous raison de vouloir demander des comptes aux pouvoirs publiques qui réagissent encore comme si cette "manne de chances pour la France" était indispensable à la survie de la République ?

Voyons le cas des Delcour, à Roubaix dont on sait que l'islam est le liant de plus de 70 % de la population.

ROUBAIX / RUE DE LANNOY
« Les cinq dernières années ont été un enfer »

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Dans un « Clic-clac » du 1er janvier, une lectrice déplorait la fermeture de la boucherie Delcour rue de Lannoy. Les gérants nous ont contactés et expliqué les raisons de leur départ.


MARIG DOUCY > [email protected]

Cette lectrice s'interrogeait ainsi : « Il sera bientôt impossible de trouver à proximité une côte de porc ou du jambon de qualité. Est-ce parce que cela demande trop de travail que plus personne ne reprend ce genre de commerce ? » Il est exact qu'à Roubaix, les boucheries traditionnelles se comptent sur les doigts d'une main mais Martine et Jean-Luc Delcour ne se plaignent pas de la pénibilité de l'activité. Ils dénoncent un environnement hostile. Durant 30 ans, ils ont tenu la boucherie installée au 267 rue de Lannoy. « C'est vrai que notre clientèle, composée de personnes âgées, ne se renouvelait pas beaucoup , dépeint Martine Delcour. Mais la fréquentation restait suffisante. Nous aurions pu continuer... » Il est indéniable que les habitudes alimentaires ont changé. Jean Vincent, boucher traditionnel installé boulevard de Fourmies, le confirme. « Pour nous démarquer des grandes surfaces, nous proposons des produits de qualité donc plus onéreux.
Forcément, tout le monde ne peut pas se le permettre... » Dans ce secteur plus favorisé, lui n'a jamais subi de remarques désobligeantes.




De leur côté, les Delcour ont préféré fermer boutique en novembre 2009, vendre l'immeuble et tirer un trait sur le fonds de commerce. Ils ont emménagé à quelques dizaines de kilomètres, profitent de leur retraite mais gardent un goût amer de leur départ prématuré. « Des jeunes ont manifesté leur écoeurement parce que nous n'étions pas une boucherie hallal, relate Jean-Luc Delcour.

Une fois, un adolescent a même craché sur mon comptoir... » Son épouse poursuit : « Nous recevions des jets de soda ou de yaourt sur notre vitrine. » Des comportements isolés ? « Je ne suis pas au courant de ces agissements , indique un travailleur social des Trois Ponts. Mais je ne peux pas dire que c'est impossible. Ça pourrait se produire car l'influence cultuelle est très forte dans les quartiers. » Un autre professionnel, exerçant dans les quartiers Est, et préférant conserver l'anonymat, complète laconiquement : « La situation est explosive... » Nathalie Desfrennes, présidente de l'association Commerces et Quartiers et de l'union des commerçants de la rue de l'Épeule, se souvient à son tour d'une anecdote : « Un client a protesté dans mon magasin parce que je mangeais une clémentine en période de ramadan ! »
Problème de voisinage

« Une partie de notre clientèle, vieillissante et dépendante, ne pouvait plus se déplacer , reprend M. Delcour. Certains ont arrêté, m'ont-ils dit, de commander des saucisses ou du jambon parce que leur auxiliaire de vie refusait de transporter des morceaux de porc. » (Lire notre encadré) Autre souci de taille rencontré par le couple Delcour : des voisins encombrants : « Ils nous empêchaient de dormir. Lorsque mon mari leur faisait des remarques, ils nous insultaient. À force, nous n'osions plus rien dire... » Les Delcour ont donc quitté l'appartement qu'ils habitaient au-dessus de la boucherie et se sont installés à 35 km de leur lieu de travail.
Lassitude et désarroi ont subrepticement pris le dessus : « Les cinq dernières années ont été un enfer ! » , résume Mme Delcour. Jusqu'au jour, le 30 août 2008, où elle a été agressée par un occupant non identifié de la maison voisine : « Nous faisions des travaux dans la cour. De l'eau a dû passer par-dessus le mur... Un homme a surgi perché sur une échelle pour nous menacer, puis a frappé à la porte du garage, j'avais toujours le tuyau d'arrosage dans les mains... » L'individu s'empare alors du tuyau, le coince dans la bouche de Mme Delcour et lui tord le bras, relate-t-elle.

« Si sa femme n'était pas intervenue, je serais morte ! » Cette agression vaudra à Martine Delcour trois semaines d'arrêt. Elle dépose plainte (procès verbaux et certificats médicaux ont été présentés à la rédaction, ndlr). La suite, elle l'ignore. « Pour notre part, nous avons continué à vivre dans la peur. » « C'est le procureur qui décide de la procédure. Les plaintes contre X sont difficiles à résoudre », indique-t-on au commissariat. « Nous avons également alerté la municipalité, relate Jean-Luc Delcour. M. Rousselle (maire adjoint des quartiers centre, ndlr) nous a rencontrés mais les problèmes ont persisté. » « Je les ai vus à plusieurs reprises, confirme Jean-Pierre Rousselle. À chaque fois, j'ai fait le nécessaire : appelé la police municipale ou nationale, sollicité les services municipaux. J'ai même organisé une réunion en mairie avec le propriétaire du bâtiment voisin ! » Des actions qui, selon l'élu, ont calmé temporairement les tensions. « Puis les problèmes ressurgissaient, les locataires changeaient... » Et le couple Delcour a baissé les bras... et le rideau.w


Rien que de très classique l'histoire des Delcour.

Le remplacement de population est devenue monnaie courante et bien entendu, les élus locaux y voient un moyen de rester à leurs postes tout en déléguant un peu au niveau des conseils municipaux.

Les revendications communautaristes, totalement en infraction avec la laïcité dont tout le monde se demande où elle a pu se carapater, n'ont même plus besoin d'autorisation.

C'est en bonne intelligence que tout ceci se met en place.

Il serait intéressant de rencontrer les quelques familles non musulmanes encore présentes afin de leur demander si leurs enfants auront un jour goûté autre chose que la viande hallale.

Imaginons le cas d'un enfant non musulman, né à Roubaix : quels clichés aura-t-il en tête sur sa ville, sa région, son pays ?

- Les femmes naissent avec des foulards sur la tête,
- Les hommes sont habillés en djellabah blanche surtout le vendredi quand ON VA à la mosquée,
- Pendant un mois, on peut pas manger ou boire dehors, c'est Ramadan,
- C'est quoi des côtes de porc ?
- La récré c'est aux 3è chant du muezzin,
- J'ai choisi arabe première langue au lieu de l'anglais...ici, c'est plus demandé pour du boulot,

- Etc...Etc...

Continuons à nous taire. Continuons à accepter le multiculturalisme avec le sourire bienveillant et charitable au nom d'une repentance post-coloniale à la con. Les pauvres indigènes qui ont combattu nos ancêtres colons ne peuvent vivre sans les méchants blancs français. Mieux encore, ils ont décidé de les suivre jusque dans leur patrie française afin de tout simplement les remplacer. Merci encore au regroupement familial initié par Giscard et Chirac ! Il est vrai que sans cela, des bleds entiers d'Algérie, du Maroc et de Tunisie, auraient périclité.

Sans guerre, juste en abandonnant des territoires, la France est devenue un califat.

Nina
 
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