BONTÉ OU FOLIE JUIVE ?

BONTÉ OU FOLIE JUIVE ?

Messagepar Nina » Mai 10th, 2015, 8:18 am



CHEZ LES JUIFS, ON APPREND. UNE FOIS TERMINE LE CYCLE D’ÉTUDES, ON APPREND A LES TUER


Il y a des ressemblances entre les hommes de guerre et de haine arabes.

Un type, né au Koweit comme Omar Barghouti, initiateur de BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanction), parcourt le monde en usant et abusant du terme "APARTHEID" pour qualifier l'état d’Israël.

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Comme je l'ai déjà écrit maintes fois ici, il est étrange que ce type qui a pu entamer et finir un 3è cycle à l'Université de Tel Aviv.

Le mensonge étant élevé au rang de vertu dans l'islam, rien n'est vraiment étonnant pour qui connaît les us et coutumes des arabes.

Ce que j'ignorais cependant jusqu'à ce jour, c'est qu'un autre ignoble individu avait lui aussi bénéficier des structures et du savoir dispensé dans une Université juive bien avant l'indépendance de l'état d’Israël.

LE MUFTI DE JÉRUSALEM, AMIN AL HUSSEINI, l'ami d'Hitler, le défenseur des nazis qui fit bien plus pour se débarrasser de ses juifs. En visitant Auschwitz par exemple, un sourire radieux sur les lèvres, il demanda aux SS "de faire un effort encore plus grand pour AUGMENTER LES QUOTAS DANS LES CHAMBRES A GAZ !"

Image (plus vite svp...Monsieur Himler...il y a encore mes juifs à gazer en Palestine !)

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Le Mufti de Jérusalem fit pourtant comme l'actuel Omar Barghouti. IL ALLA ETUDIER DANS UNE ECOLE DE L'ALLIANCE ISRAÉLITE UNIVERSELLE DE JÉRUSALEM !

La bonté couplé au besoin pour l'Alliance Israélite Universelle n'a jamais eu de frontières. Pas de barrières ethniques ou religieuses.

La toute première université de l'Alliance, à Tunis, acceptait en ses classes, des juifs et des arabes.

Pensant sans doute que le savoir gommerait la haine, que la raison l'emporterait sur des siècles d'encrassage violent sur les cerveaux malades d'obscurantisme, l'AIU a échoué avec ses élèves arabo-musulmans.

Par contre, elle fit de véritables miracles en ce qui concerne les juifs qu'elle alla chercher pour étudier et faire face à la modernité jusque dans les confins du Yémen.

Ce que fit l'Alliance Israélite Universelle en réalité ? ELLE SAUVA LES JUIFS DES PAYS ARABES.

Cette ONG créée en 1860 comprit que le seul moyen de sauver les juifs de l'antisémitisme dans les pays où ils étaient installés était l'émancipation PAR LE SAVOIR.

Souvenons-nous à jamais de ces grands hommes, pétris d'amour pour leurs frères disséminés dans le monde sous le joug des arabes et souffrant mille maux à cause de leur statut de dhimmi.

« Les fondateurs furent : Charles Netter, commerçant ; Narcisse Leven, avocat ; Jules Carvallo, ingénieur ; Eugène Manuel, professeur ; Aristide Astruc, rabbin, et Isidore Cahen, journaliste [et fils de Samuel Cahen]. Le célèbre avocat Adolphe Crémieux fut un des initiateurs de l'AIU et apporta à cette Société le concours de son éloquence et l’appui de sa fermeté et de son courage.»

Oui, la liberté, l'émancipation passent TOUJOURS et passeront TOUJOURS PAR L'ETUDE ET LE SAVOIR.

Mais, même en étudiant, certains peuples restent étrangement imperméables à la raison.

Tous ces hommes qui ont perpétré les plus grands attentats sur la planète, furent des "lettrés", des hommes de savoir, des ingénieurs qui avaient fréquenté des Universités.

Qu'est ce que cela veut dire ? Y a-t-il un palier infranchissable dans le cerveau d'un musulman ? Un palier qui rend l'humanisme inatteignable ?

A quel moment, un homme ayant fréquenté des koufars, ayant étudié avec eux, ayant parfois lié une amitié avec eux, peut-il décider qu'ils (les koufars) méritent de mourir au nom d'Allah ?

Une femme, de gauche, née à Tunis, ayant fréquenté pratiquement que des étudiants arabo-musulmans avait pris part à leurs luttes pour l'indépendance de la Tunisie.

Elle en était fière et s'enorgueillissait d'être des leurs.

Quelques mois après l'indépendance (à peine deux selon elle), elle commença à entendre parmi ses chers amis de lutte étudiants, des slogans antisémites d'une incroyable violence.

Elle ne put retenir ses larmes car elle avait toujours cru que ce qui les unissait ses camarades et elle (ainsi que d'autres étudiants juifs) étaient indéfectibles et ne pourrait jamais souffrir de l'irraisonnable "antisémitisme".

Cette étudiante juive ne se trompait pas tout à fait : ses amis, ses camarades de haute lutte, ne faisaient pas l'apprentissage du racisme ordinaire contre les juifs NON...Ils laissaient enfin libre cours à l'endoctrinement profond de leur nature arabo-musulmane.

La question du jour est donc la suivante :
La dispense du savoir, l'entrée dans la modernité des entités arabo-musulmanes, garantiraient-elles réellement une possibilité du vivre ensemble ?













Nina
 
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