LA RECTITUDE POLITIQUE TUE !

LA RECTITUDE POLITIQUE TUE !

Messagepar Nina » Mars 6th, 2016, 10:57 am

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La traduction est un peu poussive mais l'essentiel y est et a le mérite d'exister.

Les dangereux effets de notre silence sur nous-mêmes.
William Kilpatrick
Adaptation Thérèse Zrihen-Dvir


J’eus froid dans le dos à l’instant où j’ai posé mon regard sur eux. Je sentis aussi mon estomac se serrer et puis, bien sûr, je me suis donné une claque de bonne politique ... Je pensais : «Mon Dieu, Michael, ce ne sont là que quelques hommes d'affaires arabes ».

C’était Michael Tuohey, l'étiqueteur au bureau d'enregistrement des US Airways à Portland qui se souvenait de sa rencontre avec Mohammed Atta dans la matinée du 11 Septembre, 2001.

Pour Tuohey, la peur d'être politiquement incorrect était supérieure à celle, instinctive qu’il avait submergé. Mieux vaut prendre le risque à distance d'un acte terroriste que celui plus immédiat d'être pris pour un bigot. On pourrait penser que l’expérience du 9/11 aurait mis fin à la rectitude politique, au moins en ce qui concerne l'Islam. Mais ce ne fut jamais le cas. En guise, les forces de la rectitude politique se sont renforcées et ont formé un anneau de protection autour de l'islam, ce qui le rend pratiquement à l'abri de toute critique. Vous pouvez, bien sûr, critiquer les groupes terroristes, les kamikazes et les djihadistes, comme loup solitaire tout le temps que vous soulignez que leurs actions n’ont rien à voir avec l'islam. Suggérer que les terroristes ont été inspirés par l'islam lui-même et vous vous retrouvez sur un toit brûlant et peut-être même trainé en justice.

Le 9/11 n'a pas été la dernière fois qu’un peu moins de rectitude politique aurait pu sauver le jour. Prenez le massacre de 2009 à Fort Hood. Le major Nidal Hasan était connu dans les collègues des officiers pour son engouement du djihad pendant des années avant qu’il ne lance son attaque meurtrière. Pourtant, les responsables avaient échoué à le signaler par crainte d'être stigmatisés comme bigots. Même après le massacre, l'armée, les médias et l'administration ont travaillé énergiquement pour couvrir la dévotion de Hasan à l'Islam. Son attaque, nous ont-ils informés, était tout simplement un cas de violence au sein du travail.

En Angleterre, entre-temps, un autre maquillage de la mauvaise conduite musulmane se perpétuant sur une décennie, ne sera pas dévoilé pour cinq ans encore. Au cours d'une période de quinze ans, plus de 1400 filles dans la ville de Rotherham ont été séquestrées, violées, et négociées par des gangs pakistanais. La police, les autorités municipales et les organismes de protection de l'enfance connaissaient les viols,
mais ne disaient rien de peur qu'ils soient soumis à des accusations de «racisme» et «l'islamophobie» s’ils impliquaient des Pakistanais.


Les couvertures du politiquement correct sont devenues la norme en Europe. A 2014 un maquillage des agressions sexuelles par des jeunes Afghans lors d'un festival de la jeunesse de Stockholm n'a été révélé que deux ans plus tard. La police a expliqué qu'elle avait retenu l'information par crainte d'enflammer la colère contre les réfugiés et aussi parce que l'information «jouerait entre les mains des Démocrates suédois » (un Parti anti-immigration). Selon un rapport, la police suédoise avait dissimulé plus de 5000 incidents impliquant des réfugiés pendant 2015.

Les médias ont également été réticents à émettre un rapport sur l'étendue de la criminalité des immigrants. Les agressions sexuelles de masse en dehors de la gare de Cologne pendant le réveillon du Nouvel An ont été ignorées par les médias pendant plusieurs jours après que les crimes aient été commis. Ce ne fut seulement qu’après une avalanche de protestations des médias sociaux que la presse avait tardivement et à contrecœur couvert l'histoire.

Le black-out médiatique sur les nouvelles politiquement incorrectes a rendu extrêmement difficile aux Européens la compréhension du gâchis où ils se trouvent. Les anglais qui comptaient sur les principaux médias d'information savaient peu, sinon rien, à propos de l'épidémie de viol qui a balayé de nombreuses parties de la Grande-Bretagne. Et les Suédois qui dépendaient pour leurs news de la presse orwellienne de la Suède sont restés parfaitement ignorants du fait que l'immigration avait viré leur utopie socialiste en capitale du viol de l'hémisphère Nord.

Si ce n’était pas à cause des médias sociaux, les Européens auraient pu assimiler un tant soit peu l'ampleur de l'immigration musulmane et le taux de criminalité élevé qui en résultent.

Quelle pensée était derrière la prise de mesures sévères sur le mauvais usage de l’Internet par la police européenne ?

En Écosse, un homme a été récemment arrêté pour des commentaires négatifs sur Facebook à propos de l'arrivée des réfugiés sur sa petite île. Il craignait que l'île de Bute, avec une population d'environ 6.500 personnes n’appréhende l’arrivée de 1000 migrants syriens. Étant donné les mathématiques, les préoccupations de l'homme semblent justifiées.

La situation rappelle un film des années 1950 intitulé Tight Little Island qui, par coïncidence, concerne également une petite île au large des côtes de l'Écosse. Le problème fictif auquel la communauté insulaire se confrontait diffère quelque peu de celui auquel font face les habitants de Bute : Ils sont à court de whisky. Mais, en y réfléchissant, le whisky serait peut-être bientôt en pénurie si les réfugiés parviennent à imposer leurs manières sobres sur la population locale. En tout état de cause, la maréchaussée n'a pas été amusée par l’annonce sur Facebook. L'inspecteur de police du district avait mis en garde, « Je souhaite que l'arrestation de cette personne envoie un message clair que la police écossaise ne tolérera aucune forme d'activité qui incite à la haine et provoque des commentaires offensifs sur les médias sociaux ». :D

Au Danemark, les fonctionnaires envoyaient des messages aussi clairs analogues. Un tribunal de district a condamné à une amende un homme qui avait diffusé sur sa page Facebook des propos « insultants et dégradants envers les adeptes de l'Islam » : L'idéologie de l'islam est aussi odieuse, dégoûtante, oppressive et misanthrope que le nazisme. L'immigration massive des islamistes au Danemark est la chose la plus dévastatrice qui puisse arriver à la société danoise dans l'histoire récente.

De dures paroles ? Oui. Mais pas plus sévères que celles qui avaient été quotidiennement émises sur le catholicisme dans les journaux occidentaux quand le scandale du viol perpétré par un prêtre avait été révélé en 2002. Pourtant, personne n'avait suggéré que les critiques du catholicisme soient arrêtés ou condamnés à une amende. La différence est que personne ne craint des émeutes de catholiques en réponse. En revanche, la dernière fois que les musulmans s’étaient sentis offensés au Danemark, le résultat avait été des émeutes dans le monde entier avec plus de 200 morts. Ainsi, au Danemark, les sensibilités des musulmans constituent un droit de veto préventif sur la liberté d'expression.

La même chose est valable sur la terre de la liberté, égalité, fraternité. Prenons le cas de Guy Pages, un prêtre français. La police française a arrêté le père Pages et a fermé son site Islam-et-vérité (Islam and Truth) pour avoir posté des photos de ceux qui avaient été assassinés au théâtre Bataclan lors du massacre de Novembre dernier à Paris. Il est probable que le contenu écrit de son site web ait également été un facteur pour son arrestation. Lors d'une récente interview avec le site Pologne Chrétienne (Polina Christiana), le prêtre Pages équivalait l’Islam à l'Antéchrist : Les non-musulmans doivent donc comprendre que s'ils rejettent le Christ, ils auront l'Antéchrist. Le développement de l'Islam en Occident est une punition difficile pour apostasie.

Les Européens seraient-ils punis par Dieu pour leur apostasie ? L'islam est-il Antéchrist ? Il semble que les fonctionnaires français n’ont aucun pouvoir de répondre à ces questions.


Pourtant, les tribunaux français ainsi que d'autres juridictions européennes ont en effet pris sur eux la loi de la défense du blasphème des règles de l'Islam, qui sont si vaguement interprétées que toute critique de l'islam pourrait être considérée comme criminelle. Le prêtre Pages n’est pas le premier à aller à l'encontre de cette mentalité. De nombreux Européens éminents dont Geert Wilders, Oriana Fallaci, et Lars Hedegaard ont été trainés en justice pour ce qui, dans un âge plus précoce aurait été appelé hérésie. Ils croyaient offrir des critiques valables, fondées sur des preuves de l'Islam, mais du point de vue islamique ils étaient coupables de blasphème. Et la plupart des tribunaux européens sont d’accord là-dessus.

Wilders, Fallaci et Hedegaard ont tous souligné les menaces évidentes qui accompagnent la propagation de l'Islam. Mais la règle en Europe est, « si vous ne pouvez pas dire quelque chose d’agréable sur l'Islam, fermez-là.» Les trois ont passé des années à se défendre dans diverses juridictions européennes, et Fallaci a finalement fui en Amérique pour échapper aux poursuites. La leçon pour encourager les autres ? Ne pas basculer le bateau multiculturel ou vous serez le prochain à être mis à quai.

La justification de la défense des fictions du politiquement correct ressemble à ceci : Si vous pointez du doigt les aspects cruels et totalitaires de l'islam, cela ne fera qu’exciter davantage les musulmans déjà irritables et offensera également les musulmans modérés à tel point qu'ils n’auront d'autre choix que de recourir à la violence. L'argument est, bien sûr, une reconnaissance tacite que l'islam n’est pas une religion pacifique. Si ses membres sont si facilement enclins à la violence, il suggère fortement que la violence est l'inclination naturelle de l'Islam. Ce qui est le cas, alors aucune quantité d'apaisement non-offensive ne pourra arrêter la violence.

Il n'y a pas beaucoup de preuves que le maintien d'un silence poli sur l'islam empêcherait la propagation du radicalisme. Le nœud coulant de la rectitude politique a tendance à se resserrer davantage autour de la gorge des citoyens ordinaires, alors que les rangs des radicaux ne feront qu'augmenter. Actuellement, le silence de l'Occident imposé en lui-même sur la nature radicale de l'Islam assure la propagation du radicalisme.

Récemment, le département de la police de New York a reçu l’ordre d’un tribunal des États-Unis de démonter de son site Web un rapport intitulé « La radicalisation de l’Occident. La menace grossissante de maison ».
Selon les experts, le rapport « était essentiel au Ministère pour la compréhension de l'Islam radical et ses efforts pour contrôler la menace ».

Les groupes musulmans de défense avaient déjà appuyé avec succès une purge du matériel de formation de renseignements utilisés par les agences de renseignement américaines. Maintenant la police de New York va devoir également porter des œillères lors des enquêtes sur le terrorisme islamique.


Ce sont de bonnes nouvelles si votre principale préoccupation est d'éviter d'offenser « la communauté musulmane ». Il suffit de se souvenir que le code de langage de «la communauté musulmane » pour le CAIR, l’ISNA, le MAS, et d'autres groupes musulmans de pression liés à la Confrérie musulmane qui utilisent le politiquement correct comme outil pour décourager l’examen de près des activités islamistes. Si, d'autre part, votre principal souci est une autre attaque terroriste à l'échelle du 9/11, les nouvelles ne sont pas si bonnes.

Au lieu de se soucier des effets que nos critiques sur l'Islam pourraient avoir sur les musulmans, il serait de loin préférable de se soucier des effets de notre silence sur nous-mêmes. Les règles de la rectitude politique étaient censées faire du monde un endroit moins menaçant, mais elles ont seulement aggravé le danger. Quand discuter des activités islamistes, devient onéreux, les gens apprennent à tenir leur langue. La sténose de rectitude politique sur le discours a créé un climat de peur qui inhibe la liberté d'expression et nous met tous en danger. On nous dit que nous ne devons pas crier «au feu» dans un théâtre bondé, mais si le théâtre est vraiment en feu, alors il est clairement de notre devoir de le crier.

Une résidente de San Bernardino, voisine de Syed Farook et Tashfeen Malik, nourrissait quelques soupçons sur les activités menées dans leur maison. La voisine pensa en avertir la police, mais se ravisa, ne cherchant pas à se voir affublée d’un «profil racial».


Hormis la rectitude politique, le massacre de San Bernardino aurait pu être évité. Cela fait une longue période depuis 9/11, mais il semble que l’unique leçon que nous avons réellement apprise entre-temps est que le « silence est d'or ».


NDLR : Nous devons nous attendre au pire parce que le politiquement correct doit l'emporter sur le simple bon sens. Museler ne servira QUE LES TERRORISTES et les prosélytes musulmans. La démonstration ci-dessus est claire.
Nina
 
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